L'UNEF contre les expulsions...
Nino 18 ans, élève de seconde au Lycée Aliénor d'Aquitaine, est en passe d'être expulsée.
Celle-ci à reçu une obligation de quitter le territoire Français.
Originaires d’Ossétie du Sud, minuscule territoire de 70 000 habitants, dont la Géorgie conteste l’indépendance et que sa population fuit dès qu’elle le peut, Mme Daredjan BERAVA, professeure et ancienne proviseure d’un lycée à Tbilissi, M. Bessik TCHALATACHVILI, et leurs deux enfants Valérian 19 ans et Nino 18 ans, sont arrivés à Poitiers en 2006.Lorsqu’en 1995 l’Ossétie a opéré sa sécession de la Géorgie, en raison de son origine Ossete, les ennuis ont commencé pour Mme BERAVA et l’administration géorgienne l’a privée de ses fonctions et la conduit à fuir le pays avec sa famille. Ils ont demandé l'asile, ce qui leur a été refusé. Depuis l’arrestation de sa mère, Nino se retrouve seule, désespérée par le fait que sa mère puisse disparaître à son tour, comme son père et son frère dejà expulsés.
L'UNEF condamne les agissements du gouvernement qui s'inscrit dans une politique de quotas d'expulsion sans s'inquiéter des conséquences produites.
Dejà en lutte contre l'expulsion d'étudiants Poitevins, L'UNEF condamne le fait que le gouvernement va de plus en plus loin en s'attaquant désormais aux lycéens.
Cela va à l'encontre de nos fondamentaux éducatifs qui se veulent ouvert sur le monde dans un esprit de tolérance.
De plus nous sommes indigné d'assister à la guerre sociale qu'effectue le gouvernement.
En effet ce dernier n'hésite pas à briser la famille de Nino déjà lourdement persécutée.
Aujourd'hui l'UNEF exige que Nino et sa mère puissent vivre sereinement sur le territoire Français. Nous en appelons au respect des valeurs humanistes qui fonde notre société.
L'UNEF lance un appel au Maire de Poitiers et aux Députés de la Vienne afin que ces derniers prennent publiquement position contre l'expulsion de Nino.
Celle-ci à reçu une obligation de quitter le territoire Français.
Originaires d’Ossétie du Sud, minuscule territoire de 70 000 habitants, dont la Géorgie conteste l’indépendance et que sa population fuit dès qu’elle le peut, Mme Daredjan BERAVA, professeure et ancienne proviseure d’un lycée à Tbilissi, M. Bessik TCHALATACHVILI, et leurs deux enfants Valérian 19 ans et Nino 18 ans, sont arrivés à Poitiers en 2006.Lorsqu’en 1995 l’Ossétie a opéré sa sécession de la Géorgie, en raison de son origine Ossete, les ennuis ont commencé pour Mme BERAVA et l’administration géorgienne l’a privée de ses fonctions et la conduit à fuir le pays avec sa famille. Ils ont demandé l'asile, ce qui leur a été refusé. Depuis l’arrestation de sa mère, Nino se retrouve seule, désespérée par le fait que sa mère puisse disparaître à son tour, comme son père et son frère dejà expulsés.
L'UNEF condamne les agissements du gouvernement qui s'inscrit dans une politique de quotas d'expulsion sans s'inquiéter des conséquences produites.
Dejà en lutte contre l'expulsion d'étudiants Poitevins, L'UNEF condamne le fait que le gouvernement va de plus en plus loin en s'attaquant désormais aux lycéens.
Cela va à l'encontre de nos fondamentaux éducatifs qui se veulent ouvert sur le monde dans un esprit de tolérance.
De plus nous sommes indigné d'assister à la guerre sociale qu'effectue le gouvernement.
En effet ce dernier n'hésite pas à briser la famille de Nino déjà lourdement persécutée.
Aujourd'hui l'UNEF exige que Nino et sa mère puissent vivre sereinement sur le territoire Français. Nous en appelons au respect des valeurs humanistes qui fonde notre société.
L'UNEF lance un appel au Maire de Poitiers et aux Députés de la Vienne afin que ces derniers prennent publiquement position contre l'expulsion de Nino.
Rendez-vous Mercredi 4 juin devant le palais de justice de Poitiers à 18h